Auteur: Jane Austen
Editions: Le Livre de Poche
Sortie: 2011
Genre: Littérature classique
Synopsis
Orgueil et préjugés est le plus connu des six romans achevés de Jane Austen. Son histoire, sa question, est en apparence celle d'un mariage: l'héroïne, la vive et ironique Elizabeth Bennett qui n'est pas riche, aimera-t-elle le héros, le riche et orgueilleux Darcy? Si oui, en sera-t-elle aimée? Si oui encore, l'épousera-t-elle? Mais il apparaît clairement qu'il n'y a en fait qu'un héros qui est l'héroïne, et que c'est par elle, en elle et pour elle que tout se passe.
Mon avis
J'ai relu ce livre avec un peu plus de 20 ans d'écart et je le découvre donc sous un nouveau jour.
J'ai bien aimé le caractère trempé et les répliques d'Elisabeth, elle a un humour un peu caustique, ce qui n'est pas pour me déplaire. J'aime aussi son père Mr Bennett et son côté un peu "je m'en fou", le pauvre qui doit subir sa femme qui est une véritable "plaie" Tout ce qui compte pour elle, c'est de marier ses filles (on dirait qu'elle va vendre un cheval au marché), les apparences. Elle ne s'arrête jamais de critiquer, de se plaindre! Bref, un bon coup de parapluie sur la tête, lui ferait le plus grand bien.
Il va de soi que la condition féminine de l'époque (1813) n'est pas toute rose. Ce qui ressort de ce livre, c'est que la seule chose qui compte pour les jeunes filles c'est de faire un bon mariage. Car, il faut savoir, que ces jeunes demoiselles, n'avaient pas beaucoup de droits.
Ce livre est donc l'un des plus beaux livres de la littérature anglaise classique.
J'ai bien aimé le caractère trempé et les répliques d'Elisabeth, elle a un humour un peu caustique, ce qui n'est pas pour me déplaire. J'aime aussi son père Mr Bennett et son côté un peu "je m'en fou", le pauvre qui doit subir sa femme qui est une véritable "plaie" Tout ce qui compte pour elle, c'est de marier ses filles (on dirait qu'elle va vendre un cheval au marché), les apparences. Elle ne s'arrête jamais de critiquer, de se plaindre! Bref, un bon coup de parapluie sur la tête, lui ferait le plus grand bien.
Il va de soi que la condition féminine de l'époque (1813) n'est pas toute rose. Ce qui ressort de ce livre, c'est que la seule chose qui compte pour les jeunes filles c'est de faire un bon mariage. Car, il faut savoir, que ces jeunes demoiselles, n'avaient pas beaucoup de droits.
Ce livre est donc l'un des plus beaux livres de la littérature anglaise classique.
Ma note
je me demande si je le lirais un jour :p lol
RépondreSupprimerJe sais pas, il ne me tente pas... :(
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