de
Marie-Hélène Parinaud
Editions: Tallandier
Résumé
Quel étonnant personnage que ce François Vidocq, né à Arras en 1775 et devenu le "roi de l'évasion". Il eut de multiples vies, toutes plus palpitantes les unes que les autres et toujours périlleuses : il fut soldat à Valmy, se battit en duel, croisa les terribles chauffeurs du Nord, s'évada des bagnes de Brest et de Toulon, exerça tous les métiers : marin, acrobate, clown, marchand, chef d'entreprise, inventeur, imprimeur, acteur, etc., avant de devenir premier détective privé de France et d'Europe. Surtout, il ne cessa de défier le pouvoir. Un tel surhomme ne pouvait se faire oublier aussi facilement; il fascina les plus grands écrivains de son temps qui l'immortalisèrent dans leurs romans pour créer les meilleurs personnages. Balzac, qui l'appela le "Haroun Al-Rachid du bagne" puis le "Napoléon de la Police" en fit le Vautrin de Splendeurs et misères des courtisanes, Dumas le mit en scène dans Les Mohicans à Paris puis Le fils du forçat, Victor Hugo l'immortalisa sous les traits de Jean Valjean, dans Les Misérables. D'autres, nombreux, s'en inspirèrent encore : Sue, Gaboriau, Leblanc et son célèbre Arsène Lupin (Lupin était un des pseudonymes de Vidocq), Conan Doyle enfin, qui s'en servit pour donner vie à Sherlock Holmes
Ce que j'en pense
J'avoue que je n'ai pas trop aimé et pourtant je suis une grande amatrice des personnages historiques. Là, ce qui m'a dérangé c'est que l'on passe très vite du coq à l'âne, d'un évènement à un autre. Bref, je ne suis pas très objective sur le coup.
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