Auteur: Marie Pavlenko
Ed: Flammarion
Ed: Flammarion
Sortie: 8 mars 2017
Genre: Jeunesse
Pages: 462
Synopsis
Pages: 462
Synopsis
Deborah vient de surprendre son père embrassant une femme qui n’est pas sa mère, devant son lycée. Pour son année de terminale, elle se sent maudite : ses parents sur le point de divorcer, sa meilleure amie Éloïse qui l’abandonne pour Erwann, le bac en ligne de mire… Heureusement elle rencontre Jamal et Victor, et traverse l’orage, comme un soleil.
Mon avis
Merci aux Editions Flammarion et Babelio
J'étais très impatiente de découvrir Marie Pavlenko à travers un "jeunesse". J'avais découvert sa plume grâce à sa sublime saga "Le livre de Saskia", une trilogie que j'ai dévoré. Et lorsque j'ai vu qu'elle sortait un nouveau roman plutôt "jeunesse" je me suis dit "pourquoi pas". C'est toujours intéressant de découvrir un auteur dans un autre style, c'est un peu un test. Et pour ma part, ce test a été plus que concluant car "Je suis ton soleil" est un petit bijou, un petit coup de coeur. J'ai lu ces 462 pages en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. J'ai plongé tête baissée dans l'histoire de Déborah.
Déborah termine sa scolarité, c'est l'année du BAC. Avec sa meilleure amie Eloïse, elle entame donc cette dernière année si importante. Mais, les choses commencent mal, Eloïse va très vite la laisser tomber pour son nouveau gars. Déborah va devoir faire face à l'étrange comportement de sa mère, va découvrir la trahison de son père. Mais elle découvrira que l'amitié n'est pas si loin avec Jamal et Victor. Grâce à eux, elle pourra garder la tête hors de l'eau. Elle affrontera la tempête et survivra à l'acte terrible de sa mère. Elle devra résister face à la douleur et à l'incompréhension. Peu à peu, Déborah relèvera la tête, apprendra et comprendra ses parents.
Cette histoire si parfaitement écrite décrit la difficulté de la fin de l'adolescence. Les non-dits des parents, le doute qui s'installe et les questions sans réponses. Marie Pavlenko sait toucher le lecteur, elle jongle avec les mots d'une façon poétique. L'amour, l'amitié, la souffrance, la crainte de l'inconnu.
Une histoire pleine d'amour et d'amitié mais aussi d'humour. Petit coup de coeur pour ce cher Isidore qui n'était pas l'ami voulu par Déborah mais qui va se révéler comme le plus grand des amis. Celui dont on ne voulait pas mais qui sera toujours là, fidèle, aimant, attachant.
Je suis passée par toutes les émotions pendant ma lecture, du gros gros fou rire lors de l'épisode de Isidore sur le lit, aux larmes lors de l'acte terrible de désespoir de la mère de Déborah ainsi que de la douleur de celle-ci. J'ai aimé la compassion des professeurs de Déborah lorsque celle-ci était prête à sombrer. Et surtout l'amitié constante de Jamal, Victor et Eloïse.
Une magnifique et touchante histoire, une histoire qui ne laisse pas insensible et qui redonne l'espoir!
Déborah termine sa scolarité, c'est l'année du BAC. Avec sa meilleure amie Eloïse, elle entame donc cette dernière année si importante. Mais, les choses commencent mal, Eloïse va très vite la laisser tomber pour son nouveau gars. Déborah va devoir faire face à l'étrange comportement de sa mère, va découvrir la trahison de son père. Mais elle découvrira que l'amitié n'est pas si loin avec Jamal et Victor. Grâce à eux, elle pourra garder la tête hors de l'eau. Elle affrontera la tempête et survivra à l'acte terrible de sa mère. Elle devra résister face à la douleur et à l'incompréhension. Peu à peu, Déborah relèvera la tête, apprendra et comprendra ses parents.
Cette histoire si parfaitement écrite décrit la difficulté de la fin de l'adolescence. Les non-dits des parents, le doute qui s'installe et les questions sans réponses. Marie Pavlenko sait toucher le lecteur, elle jongle avec les mots d'une façon poétique. L'amour, l'amitié, la souffrance, la crainte de l'inconnu.
Une histoire pleine d'amour et d'amitié mais aussi d'humour. Petit coup de coeur pour ce cher Isidore qui n'était pas l'ami voulu par Déborah mais qui va se révéler comme le plus grand des amis. Celui dont on ne voulait pas mais qui sera toujours là, fidèle, aimant, attachant.
Je suis passée par toutes les émotions pendant ma lecture, du gros gros fou rire lors de l'épisode de Isidore sur le lit, aux larmes lors de l'acte terrible de désespoir de la mère de Déborah ainsi que de la douleur de celle-ci. J'ai aimé la compassion des professeurs de Déborah lorsque celle-ci était prête à sombrer. Et surtout l'amitié constante de Jamal, Victor et Eloïse.
Une magnifique et touchante histoire, une histoire qui ne laisse pas insensible et qui redonne l'espoir!
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